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Bayenghem-les-Seninghem veut sauver son église
Jeudi 7 avril, dans la salle des fêtes, le maire de Bayenghem-les-Seninghem, André Duwat a mené une réunion à propos des travaux de restauration de l’église. Une association de sauvegarde sera constituée, le 25 avril, pour permettre la collecte de fonds.
Redonner à l’édifice son lustre d’antan, c’est l’objectif que s’est fixé l’architecte Angélique Thomas, dans son étude. De son exposé, il ressort que trois phases de travaux seront menées, dont la première, en deux temps, concerne la tour puis la balustrade et la flèche. Les premiers échafaudages sont prévus fin 2016 avec poursuite vers le clocher, dans la foulée en 2017.
500 000 euros – c’est une estimation – seront nécessaires pour mener à bien la première tranche. Des subventions sont acquises – 84 000 € de l’État et 10 000 € de la réserve parlementaire de Brigitte Bourguignon. D’autres sont des promesses – 125 000 € de la Région, 40 % du Département. En résumé, 80 % du coût total seraient subventionnés, 20 % restant à la charge de la commune.
Création de l’association le 25 avril
Une charge que la Fondation du patrimoine, partenaire du projet, réduira en fonction des dons consentis. D’où la création d’une association de sauvegarde, indispensable. À l’appel du maire, une douzaine d’amoureux du patrimoine se sont engagés et, le 25 avril, le bureau sera constitué. Grâce à cette souscription, les fidèles de l’église Saint-Martin espèrent lui rendre son éclat.
Par La Voix Du Nord | Publié le 10/04/2016
Par La Voix Du Nord | Publié le 12/01/2016
www.lavoixdunord.fr/.../bayenghem-les-seninghem-l-eglise-priorite-de-2016-ia37b484
Bayenghem-les-Seninghem : l’église priorité de 2016
Lors de la cérémonie des vœux, samedi 9 janvier, Alain Bertin, maire adjoint, a précisé qu’après avoir reçu trois années de suite le bouquet d’or pour le fleurissement de la commune, celle-ci était désormais inscrite pour l’obtention de sa première fleur en 2016.
André Duwat a souligné l’arrivée du nouveau percepteur, Isabelle Lartigue-Bienvenu. Le maire est revenu longuement sur la restauration de l’église. Il souhaite que les travaux débutent cette année. Néanmoins, à la demande de la Fondation du patrimoine, pour un financement plus aisé, ceux-ci devraient intervenir sur deux exercices budgétaires.
Des subventions
Au niveau des subventions, le Département a reconnu l’intérêt départemental du projet, ce qui entraîne son soutien à hauteur de 125 000 €, la même somme émanera de la Région, plus une dotation de l’État de 84 000 € et 10 000 € sur la réserve parlementaire du député.
https://www.deltafm.fr/info-locale/audomarois/y-a-urgence-a-renover-leglise-de-bayenghem-seninghem/
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Publié le 28 avril 2016 à 16:31
Il y a urgence à rénover l’église de Bayenghem les Seninghem !
Les habitants de Bayenghem les Seninghem au petit soin pour leur église ! Il faut dire qu’elle en a bien besoin. L’édifice, qui n’a jamais fait l’objet de gros travaux, se dégrade. Les origines de cette église St Martin remontent au 12ème siècle, mais le bâtiment que l’on peut voir de nos jours a été reconstruit aux 16ème et 18ème siècle. D’ici la fin de l’année, une première phase de travaux doit être lancée sur la tour et le clocher… rien que cette partie coûtera 500 000 €. Bien sûr, le village va être aidé par l’Etat, la région et le département… mais vous aussi vous pouvez participer. Une association de sauvegarde de l’église vient d’être créée. Si vous voulez en savoir plus, n’hésitez pas à vous rapprocher de la mairie.
L’église St Martin n’a jamais fait l’objet de gros travaux, et a souffert d’un manque d’entretien. Les élus ont donc pris le dossier en main, car en l’état, le site peut être dangereux. Jean-François Denecque, 3ème adjoint au maire, nous en dit un peu plus sur ce qui va être fait :
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Côté financement, l’Etat, la région, et le département vont aider la commune, mais ce ne sera peut-être pas suffisant pour tout faire. C’est pourquoi une association a été créée, et son bureau a été composé lundi. C’est Jean-François Denecque qui en est le président :
Lundi, André Duwat, maire, a convié l’abbé Boucly, les responsables de la paroisse Saint-Jean-Baptiste en pays lumbrois et la population à l’installation du nouveau coq. S’il y en a un qui n’aurait manqué cet événement pour rien au monde, c’est bien Jules Wilquin, doyen de la commune âgé de 93 ans, qui a tenu à faire le déplacement pour la pose de la nouvelle girouette.
« Je souhaite qu’il protège et veille sur la population »
Les travaux sur la flèche se terminant et avant de procéder au démontage de l’échafaudage, les acteurs de l’événement se sont retrouvés pour la bénédiction du coq. Juché à 24 mètres de hauteur, l’ancien volatile s’était détérioré avec le temps : rouillé, il n’indiquait plus le sens du vent, immobile en direction de Lumbres, « pour voir si les poules sont plus jolies », ironise André Duwat.
« Fierté »
Dans son allocution, le maire est revenu sur la raison de la présence d’un coq au sommet des clochers : « Il représente le courage, la vigilance et la fierté et je souhaite qu’il protège et veille sur la population. Nous lui souhaitons bon vent et qu’il continue à symboliser l’esprit du village qui se perd un peu partout dans nos campagnes. »
« Le cœur du village »
L’abbé Boucly a clos les discours avant l’étape de la bénédiction. Pour le prêtre, l’oiseau a deux fonctions : la première est d’indiquer la direction du vent, l’autre renvoie au passage de la Bible où le disciple Pierre renie trois fois Jésus avant le chant du coq. « Le coq est celui qui donne l’espoir, c’est lui qui peut nous relancer vers un nouveau départ (…). Il est aussi le cœur du village, l’unité d’une commune, c’est lui qui permet de nous rassembler. » L’abbé a ensuite procédé à la bénédiction et rappelé qu’« un coq installé doit faire trois tours, un pour le maire, un pour le curé et un pour la population ».
Des friandises tombant du ciel
Comme à son habitude, le doyen Boucly ne s’est pas fait prier pour accompagner André Duwat, Angélique Thomas, architecte, Roger Dominguez de l’entreprise Chevalier Nord, ainsi que des membres de l’association de sauvegarde de l’église dans l’ascension du clocher. Depuis là-haut, des friandises ont été lancées aux enfants venus en nombre assister à cet événement peu commun.
Par F. W. (Clp) | la voix du Nord Publié le 20/09/2017
Pour le maire, André Duwat, le coq représente « courage, vigilance et fierté ».
Sep 21, 2017par -
ÉGLISE SAINT-MARTIN : UN NOUVEAU COQ AU FAÎTE DU CLOCHER
« La pose d’un coq est un grand jour. Son installation marque la fin des travaux relatifs au clocher de l’église. » Lundi 18 septembre 2017, maire, élus, architecte, conducteur de travaux, chef d’équipe, abbé, paroissiens… étaient rassemblés au pied de l’église Saint-Martin pour un événement somme toute assez peu fréquent dans un village : l’installation d’un nouveau gallinacé.
« Notre bon vieux coq a rejoint la terre ferme, a rappelé André Duwat. Il s’était quelque peu rouillé avec le temps et n’indiquait plus le sens du vent, condamné à regarder toujours dans la même direction, celle de Lumbres. Peut-être pour voir si les poules y sont plus jolies…
Un reportage à retrouver dans L’Indépendant du Pas-de-Calais du jeudi 21 septembre 2017
http://st-jean-baptiste.pagesperso-orange.fr/bayenghem.html#BAYENGHEM_les_SENINGHEM_
site paroissial
BENEDICTION du COQ le 18 Septembre 2017
JOURNEES du PATRIMOINE les 16 et 17 Septembre 2017
Cloche restaurée, Coq restauré, Chaire du XVIème siècle, Aigle lutrin en bois sculpté du XVIème.
